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bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
peur de la nuit ? non m, mais je pense qu'une situation comme celle que je décris serait terrifiante.ht tp://d
Par drkaroloth, le 19.12.2012
	        	  Date de création : 19.04.2011
	        	  
Dernière mise à jour :
		        	 10.01.2020
		        	 
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Zig ! Bang ! Boum !
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« — Tu sais, je ne voudrais pas que tu me prennes pour ce que je ne suis pas. Je ne suis pas une pute. Ne va pas penser que j’ai pour habitude de ramener chez moi des mecs trouvés sur le trottoir. Tout à l’heure, quand je t’ai vu, tu m’as plu tout de suite. Tu avais l’air d’être quelqu’un de bien. Je ne sais pas comment on a fini ici. Ça doit être la bière. Tiens, en parlant de ça, si on se prenait un petit apéro !
— Heu… non, merci.
— Aller ! Ne sois pas idiot. C’est jour de fête aujourd’hui, tout est permis. »
Et sans attendre ma réaction, elle éteignit le feu sous la poêle et abandonna la cuisson des pâtes qu’elle venait de verser dans l’eau bouillante. D’un placard, elle sortit deux verres, et d’un autre, un flash de porto. Elle remplit les deux verres à moitié et m’en tendit un. « — À la tienne, mon chéri ! », chuchota-t-elle comme si elle craignait d’être entendu par quelqu’un d’autre que moi en choquant son verre contre le mien. Puis, ayant mis la table et comme les pâtes manquaient encore de cuisson, que nous avions vidé nos verres plus vite que je ne l’aurais cru, Jeannie vida le reste de la boisson apéritive dans nos verres. Au moment de passer à table, après avoir rapidement ingurgité une quantité d’alcool très supérieure à celle qu’il m’arrivait de boire en une seule fois, j’étais un peu éméché. Cet état second me permit d’avaler mon morceau de viande sans ressentir d’écœurement ce qui n’aurait pas manqué d’être le cas dans la circonstance contraire tant l’odeur de la graisse du steak pendant sa cuisson m’avait soulevé le cœur. Les pâtes parsemées de fromage râpé au goût fade furent tout aussi peu ragoûtantes, mais apparemment, j’étais le seul à m’en rendre compte autour de la table. Quand nous eûmes terminé nos assiettes, Jeannie distribua aux enfants des yaourts aux fruits qu’eux s’empressèrent de manger. Les minutes avaient passé bien vite, l’alcool avait sur mon cerveau cet effet d’accélérer le temps, et déjà pour Marie, Morgane et Grégory, l’heure de reprendre les cours s’approchait. « — Bon, aller, les gosses, dit Jeannie quand le moment de partir fut venu, il faut y aller ! Dites au revoir à Nicolas ! » J’eus de nouveau droit à quelques bises et à une ferme poignée de main. C’est après le départ des enfants que je réalisai à quel point ils avaient été bruyants et volubiles. Surtout les filles ! Tout à coup, la paix semblait être revenue avec le silence dans la maison. Sous le conseil de Jeannie, j’avais quitté la table et j’étais venu m’affaler dans le canapé.
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