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bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
peur de la nuit ? non m, mais je pense qu'une situation comme celle que je décris serait terrifiante.ht tp://d
Par drkaroloth, le 19.12.2012
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Le Crayon
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Elle et lui habitaient la capitale depuis plusieurs années, depuis qu’ils avaient décidé d’acheter cet appartement donc. L'immeuble se situait dans un quartier bien fréquenté et assez tranquille du fait que leur rue se trouvait loin de tous les centres attractifs de la ville. Le logement était perché au troisième étage d’une construction ancienne qu’on ne pouvait cependant pas prétendre être vétuste. Elle avait été rénovée une huitaine d’années plus tôt, juste avant qu’ils se portent acquéreurs de ce bien. C’est d’ailleurs cette rénovation récente qui les avait incités à se lancer. Depuis, ils étaient endettés, mais cela ne posait pas véritablement de problème, leurs revenus restaient suffisamment conséquents pour faire face sans qu’ils aient à réduire leur train de vie. Il leur restait encore un peu plus d’une vingtaine d’années à attendre avant de devenir véritablement propriétaires. Quand ce moment viendrait, lui serait âgé de soixante ans, elle, de cinquante-huit, presque l’âge auquel ils avaient prévu de revendre l’appartement et de prendre une retraite méritée au bord de la méditerranée. C’est vrai, ils s’étaient décidés tardivement. Ils avaient déjà deux enfants alors. Une fille et un garçon : Oriane et Otan. Otan se prononçait comme s’il y avait eu un « e » final, pas comme l’OTAN de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord. C’est lui, le père, qui avait eu cette idée. Il voulait inventer un prénom original pour son fils, un prénom qu’il serait seul à porter. Il semble qu’il ait réussi son pari. À l’époque où se déroule l’anecdote qui va être narrée ici, Oriane avait douze ans et s’apprêtait à devenir une demoiselle. Otan, son jeune frère, en avait sept. Quant à la mère, Julie, elle était âgée de trente-huit ans, le père, Nathan, de quarante.
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Avant toute chose, ce qu’il convient de se souvenir, c’est qu’elle et lui gagnaient confortablement leur vie, suffisamment en tout cas pour les autoriser à investir dans un appartement situé au cœur de la capitale sans éprouver le besoin de se priver de quoi que ce soit. Ils disposaient chacun d’une automobile par exemple : lui d’un « Crossover » de marque réputée et elle d’une petite berline qu’elle préférait à cause de sa taille plus modeste et de sa meilleure manœuvrabilité en ville. Les enfants, eux, aimaient surtout la voiture de leur père, son confort s'avérait supérieur et de nombreux gadgets permettaient de passer agréablement le temps lorsque le week-end venu toute la famille partait à l’aventure, en grande banlieue pour rendre visite aux grands-parents.
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L’appartement par lui-même se révélait vaste et les pièces qui le composaient étaient spacieuses, sans exception. La cuisine abritait un équipement complet de meubles aménagés avec réfrigérateur, congélateur et lave-vaisselle incorporés ainsi qu’un four électrique, un four à micro-ondes et une plaque de cuisson à induction posée sur un long plan de travail. Il restait ainsi suffisamment de place pour la table de cuisine qui pouvait accueillir jusqu’à huit personnes sans que celles-ci se sentent à l’étroit. Cependant, il était rare qu’autant de gens se trouvent réunis dans l’appartement. Généralement, lorsqu’un repas était prévu, les parents préféraient donner rendez-vous à leurs invités dans un restaurant. Julie prétendait ne pas être bonne cuisinière et embaucher des extras juste pour une soirée semblait déraisonnable, sans compter les désagréments qu’un dîner à domicile pouvaient occasionner.
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