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· Les salops
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bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
peur de la nuit ? non m, mais je pense qu'une situation comme celle que je décris serait terrifiante.ht tp://d
Par drkaroloth, le 19.12.2012
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Jour merveilleux
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Le désir était monté en toi d’un coup au beau milieu d’un après-midi, si fort que tu t’en étais mordu les lèvres. Tu as ensuite attendu la venue du soir et le retour de Damien avec impatience. Par chance, il est rentré de bonne heure. À peine a-t-il eu le temps de passer la porte que tu t’es jetée sur lui. Tu l’as embrassé goulument puis tu l’as entraîné dans la chambre à coucher. Il n’a pas protesté, mais tu ne peux pas dire qu’il se soit montré extrêmement empressé et tu n’as pas pu t’expliquer la lueur de panique que tu as cru déceler dans son regard. Se demandait-il s’il allait se montrer à la hauteur ? Quoi qu’il en soit, c’est toi qui as pris les choses en main. Tu l’as poussé à la renverse sur le lit et fébrilement tu as détaché la ceinture de son pantalon, fait sauter les boutons de sa braguette et libéré son sexe de sa dernière entrave en tirant l’élastique de son slip. Il était en grande forme contrairement à ce que tu redoutais. Il est vrai que l’érection obéit à des règles mécaniques qu’une manipulation simple sait mettre en route. Comme tu étais nue sous ton peignoir de soie — tu avais pris un bain dans l’espoir de calmer le feu de ton ventre —, tu n’as eu qu’à le soulever au moment où tu as escaladé le corps de Damien et à guider son membre phallique en toi puis, lentement, à la manière d’une cavalière menant son étalon au pas, tu t’es laissé transporter.
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Comme il te restait encore un peu de ta naïveté infantile, tu pensais que cette étreinte allait vous permettre de ressouder entre vous les liens que la grossesse avait distendus. Il n’en fut rien. Au contraire ! Damien, dans les jours qui suivirent, multiplia les excuses pour échapper à une récidive. Un nouvel ordre se mit peu à peu en place dans la maison, celui de l’ignorance des uns par les autres. Damien rentrait tard et fatigué, si fatigué… et le week-end, il avait toujours des choses à faire qui ne supportaient aucun retard, des amis à voir, une compétition d’échecs. Ah, oui, Monsieur s’était inscrit dans un cercle d’échecs et participait, soi-disant, à toutes sortes d’épreuves échiquéennes qui lui prenaient la plupart de ses dimanches, si bien que tu en arrivais à te demander parfois si tu n’avais pas épousé le pendant français de Viswanathan Anand. Vraiment, il te prenait pour une crétine ! Au bout d’un temps, c’était inévitable, tu n’as jamais eu un caractère à te laisser manipuler sans manifester ton mécontentement, ce qui est assez salutaire, tu l’as attrapé au saut du lit un samedi matin et tu lui as dit ce que tu avais sur le cœur. Il n’a protesté à aucun moment. Il s’est contenté de prendre une douche en écoutant tes récriminations, tu avais beaucoup à dire, de s’habiller, toujours à l’écoute, et de ficher le camp dans la demi-heure suivante. « — Désolé ma chérie, il faut que j’y aille. » Voilà tout ce qu’il t’a dit ce jour-là.
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