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bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
peur de la nuit ? non m, mais je pense qu'une situation comme celle que je décris serait terrifiante.ht tp://d
Par drkaroloth, le 19.12.2012
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Jour merveilleux
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Cependant, plusieurs fois, afin de passer quelques caps, Bruno s’autorisa à piocher dans la caisse de l’entreprise avec dans l’esprit l’intention de rembourser au plus tôt. On sait ce que valent les bonnes intentions. Curieux, comment les choses s’imbriquent pour détruire ! Au premier manquement, la banque tomba sur lui. Puisqu’il ne pouvait plus assurer les échéances, il fallait vendre. Vendre tout ! Leur mariage à la suite de ça n’eut que le temps de devenir un joli souvenir au goût empoisonné. Pourtant, il avait été beau. Elle, dans sa longue robe blanche, gracieuse autant qu’on peut l’être, et lui, dans son costume gris perle, avaient été le temps de quelques heures le centre d’un univers. Tous les regards convergeaient vers eux, tous les sourires étaient pour eux, tous les mots qui s’envolaient parlaient d’eux. Pour preuve de l’intérêt qu’ils soulevaient, autour de leur couple, à la mairie comme à l’église, à l’intérieur comme au-dehors virevoltait une nuée frénétique de photographes en herbe, amateurs d’un jour, dont les clics et les flashs de lumière des appareils photo numériques décuplaient à l’approche des instants cruciaux. Ils s’étaient dit oui deux fois, la seconde fois comme pour confirmer la première, à la mairie puis à l’église où il avait fallu rejouer la scène du baiser final sous les applaudissements dociles de la foule comme au spectacle pendant que les plus fougueux menaient la claque gracieusement et que les bravos fusaient. Avait suivi la traditionnelle séance photo au milieu d’un parc fleuri où d’autres couples leur ressemblant se faisaient tirer le portrait, tout comme eux, derrière des parterres de fleurs blanches en bouquets, entre parents et amis, papis et mamies, et des troupes d’enfants de tous âges survoltés et intenables. Puis, le cortège nuptial s’était ébranlé bruyamment et une longue file de voitures jouant du klaxon s’était mise en route sous les ollé des passants et le soleil ardant du plein après-midi.
À une vingtaine de kilomètres de là, ils avaient loué la salle d’un restaurant qui avait été aménagé dans d’anciens bâtiments de ferme sur le bord d’une rivière et au milieu d’un agréable cadre de verdure. Comme la journée était belle sous le ciel d’azur et que les rayons du soleil accentuaient la perception de l’harmonie des choses, leur mariage semblait être béni par les Dieux d’autant qu’il régnait une atmosphère joyeuse parmi les convives ; atmosphère qui devint plus endiablée avec la venue de la nuit lorsque la musique commença à amplifier sa puissance et à résonner de rythmes technos cependant que l’alcool peu à peu échauffait les organismes et libérait les pulsions. La fête s’étira jusqu’au matin et s’acheva dans les règles avec la soupe à l’oignon consommée à l’aube dans l’apaisement général des esprits et l’atonie des corps.
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